Examples of using "Gates" in a sentence and their french translations:
Et Bill Gates
L'aéroport dispose de 153 portes d'embarquement.
L'un de ces collectionneurs est Bill Gates
Pourquoi Bill Gates est-il sur votre affiche?
Bill Gates est le fondateur de Microsoft.
- Bill Gates est l'homme le plus riche du monde.
- Bill Gates est l'homme le plus riche au monde.
Les portes de l'école ouvrent à 8 heures.
Les portes étaient fermées.
Audition et numérique : Albert Einstein et Bill Gates.
Bill Gates recueille quelques notes de de Vinci
Bill Gates est la personne la plus riche du monde.
Ce n'est pas en érigeant des clôtures qu'on obtient la sécurité, mais en ouvrant des portes.
il redevenait le macho avant d'arriver à la base.
Cette émotion positive peut provenir des cinq sens du corps :
«Autour de la tour Henninger» se termine aux portes de la brasserie.
Tom a un t-shirt signé par Bill Gates.
Il y avait 5 portes principales sur les routes principales menant dans la ville.
En entrant, les hommes de Vlad firent taire les sentinelles et ouvrirent grandes les portes pour que le reste de la
Le héros, étonné, voit cet immense ouvrage ; / il admire ces tours, ces ports et ces remparts, / le bruit tumultueux des travaux et des arts ; / des chaumes ont fait place à ce séjour superbe, / la colonne s'élève aux lieux où croissait l'herbe.
Ta postérité possédera la porte de ses ennemis, et toutes les nations de la terre seront bénies en ta semence, parce que tu as obéi à ma voix.
Presque tous les siheyuans avaient leur bâtiment principal et leur portail tournés au sud pour un meilleur éclairage, donc une majorité de hutongs courent d'est en ouest.
Je retourne d'abord vers la voûte secrète / dont le passage obscur seconda ma retraite ; / je reviens sur mes pas, et d'un œil curieux / mes avides regards interrogent ces lieux. / Partout règne le deuil, partout l'ombre effrayante, / et le silence même ajoute à l'épouvante.
" Enfin nous respirons ; enfin, après dix ans, / Ilion d'un long deuil affranchit ses enfants. / Le libre citoyen ouvre toutes ses portes, / vole aux lieux où des Grecs ont campé les cohortes. / On aime à voir ces champs témoins de nos revers, / ces champs abandonnés, ces rivages déserts. "
" Ici, tonne en fureur l'implacable Junon : / debout, le fer en main, la vois-tu sous ces portes / appeler ses soldats ? Vois-tu de ces cohortes / l'Hellespont à grands flots lui vomir les secours ? "
" Les uns courent au loin répandre le carnage ; / d'autres, le fer en main, gardent chaque passage : / l'affreux tranchant du glaive, et la pointe des dards, / prêts à donner la mort, brillent de toutes parts ; / et de gardes tremblants à peine un petit nombre / se défend au hasard, et résiste dans l'ombre. "
Plus bas, le fer en main, d'intrépides cohortes / se pressent en dedans, et protègent les portes. / Ma fureur se réveille en ces moments d'effroi ; / je vole à leur secours, au secours de mon roi.
Un bouclier d'Abas, devenu ma conquête, / du temple par mes mains a décoré le faîte ; / et je grave au-dessous du monument guerrier : ÉNÉE AUX GRECS VAINQUEURS RAVIT CE BOUCLIER.
" Thymète le premier, soit lâche trahison, / soit qu'ainsi l'ordonnât le destin d'Ilion, / des Grecs favorisant la perfide entreprise, / dans nos murs aussitôt prétend que l'on l'introduise. "
Ils s'emparent de Troie ; et les vapeurs du vin / et la paix du sommeil secondant leur dessein, / ils massacrent la garde, ouvrent toutes les portes, / et la mort dans nos murs entre avec leurs cohortes.
" Sinon vainqueur insulte aux désastres de Troie. / Triomphant au milieu de nos murs enflammés, / un monstre affreux vomit des bataillons armés : / et, tandis que ses flancs enfantent leurs cohortes, / des milliers d'ennemis, se pressant sous nos portes, / fondent sur nos remparts à flots plus débordés / qu'ils n'ont jamais paru dans nos champs inondés. "
Enfin nous échappons de cette ville en cendre. / Nous nous croyions sauvés, lorsque je crois entendre / d'un bataillon nombreux les pas précipités ; / et, dans l'ombre jetant ses yeux épouvantés, / " Fuis, cours, fuis ! je les vois, je vois briller leurs armes ! " dit mon père.
Voyant les Grecs vainqueurs au sein de ses remparts, / son antique palais forcé de toutes parts, / l'ennemi sous ses yeux, d'une armure impuissante / ce vieillard charge en vain son épaule tremblante, / prend un glaive à son bras dès longtemps étranger, / et s'apprête à mourir plutôt qu'à se venger.
" De cent verrous d'airain les robustes barrières / refermeront de Mars les portes meurtrières ; / la Discorde au dedans, fille affreuse d'enfer, / hideuse, y rougira sous cent cables de fer, / et, sur l'amas rouillé des lances inhumaines, / de sa bouche sanglante en vain mordra ses chaînes. "