Examples of using "Forth" in a sentence and their french translations:
elle passe de l'une à l'autre pendant une heure.
et a fait des va-et-vient.
Des cris de joie éclatèrent.
et ainsi de suite.
et parfois même par allers-retours.
nous avons présenté le projet de loi 2191.
si je m'étais accroché à mes idées,
Ils peuvent faire des allers-retours,
La montagne a accouché d'une souris.
Sami connaissait la Bible de long en large.
jonglant entre peur et courage
Il allait et venait dans la pièce.
- Vous devez d'abord rassembler votre groupe avant de vous aventurer plus avant.
- Tu dois d'abord rassembler ton groupe avant de t'aventurer plus avant.
et puis nous volons vers Barcelone.
Je peux déplacer cela d'avant en arrière. C'est gros.
Les vents de mars et les pluies d'avril laissent place aux fleurs de mai.
Elle m'a dit que dans cet échange sur Twitter,
Nous volons maintenant ensemble vers Porto.
1) Principe de circulation (va et vient de l'objet).
c'est que nos yeux bougent rapidement et aléatoirement en va-et-vient,
maintenant il y a des organisations internationales et ainsi de suite.
À moins que la machine ne vole plusieurs fois d'avant en arrière
Il a fait des allers-retours, mais le délai est préprogrammé.
et on s'intéressait aux rêves et à la mort.
Sous le couvert de la nuit, les plus malins peuvent se reproduire.
deux fois Hambourg dans les deux sens et toujours à Berlin, par exemple.
le fait passer de mon périphérique gauche au droit, dans un sens puis dans l'autre.
pour passer d'une tâche à l'autre et pour être flexible dans nos pensées.
Et puis j'enchaîne des centaines d'allers-retours.
Et la bataille se poursuit, c'est vraiment du coude à coude.
Pendant plus d'un an, Frank et Timo avaient réfléchi aux
Il faisait les cent pas sur le quai en attendant le train.
Quand la bombe a été larguée, j'ai senti la maison vibrer dans tous les sens.
Le présent accord est produit en deux exemplaires signés par les deux parties.
Il a péroré pendant plus d'une heure sur les fléaux de l'énergie nucléaire.
Et puis, si ces quatre cas infectent deux autres chacun et ainsi de suite,
Charles Moore a créé le Forth dans une tentative pour accroître la productivité du programmeur sans sacrifier l'efficacité de la machine.
Kachtanka courait dans tous les sens mais ne pouvait trouver son maître, et la nuit commençait à tomber.
Elle dit : et, sans arc, sans carquois e sans aile, / fier, et s'applaudissant de sa forme nouvelle, / il part.
Viens, mon bien-aimé, allons aux champs ! Nous passerons la nuit dans les villages.
Le figuier forme ses premiers fruits et les vignes en fleur exhalent leur parfum.
Qui est celle-ci qui surgit comme l'aurore, belle comme la lune, resplendissante comme le soleil ?
Un combat tout nouveau de tous côtés s'engage, / sur les monstres ailés nous fondons avec rage.
De Leucate bientôt les sommets nuageux, / et du port d'Apollon les écueils orageux, / chers, malgré leurs dangers, de loin nous apparaissent.
Quand il disait : Les tachetés seront ton salaire, toutes les brebis faisaient des petits tachetés. Et quand il disait : Les rayés seront ton salaire, toutes les brebis faisaient des petits rayés.
Déjà, fier d'accomplir un ordre qui le flatte, / l'Amour poursuit sa route, et, conduit par Achate, / porte aux enfants de Tyr les présents d'Ilion.
Les détails de l'accord sont indiqués dans le contrat.
Pour mon alliance, je la confirmerai sur Isaac, que Sara t’enfantera à pareille époque, l’année prochaine.
Elles dansent en cercle pour indiquer une courte distance, et agitent leurs corps et sautillent vers l'avant puis vers l'arrière pour indiquer une plus grande distance.
Mais d'un sage orateur si la vue imposante / dans l'ardeur du tumulte à leurs yeux se présente, / on se tait, on écoute, et ses discours vainqueurs / gouvernent les esprits et subjuguent les cœurs.
Un mathématicien est un homme qui ne comprend pas seulement une pensée qui lui est exposée, mais qui voit aussi sur quelle erreur de raisonnement elle est fondée.
Les rames en éclats échappent au rameur ; / le vaisseau tourne au gré des vagues en fureur, / et présente le flanc au flot qui le tourmente. / Soudain, amoncelée en montagne écumante, / l'onde bondit.
À ces mots, je saisis, sans espoir de défense, / d'un bras mon bouclier, et de l'autre ma lance. / Je sortais en fureur de ce séjour de deuil, / quand mon épouse en pleurs m'arrête sur le seuil, / embrasse mes genoux, éperdue et tremblante, / me présente mon fils, et, d'une voix touchante:
À l'abri des rochers, et sous de noirs ombrages, / il laisse ses vaisseaux ; et, deux traits à la main, / suivi du seul Achate, il se fraie un chemin.
" Au milieu des terreurs dont notre ame est troublée, / le roi d'Ithaque, aux yeux de la Grèce assemblée, / traîne à grand bruit Calchas; et ses cris odieux / le pressent de nommer la victime des dieux. / Déjà, lisant de loin dans son ame cruelle, / mes amis annonçaient ma sentence mortelle. "
Abraham tomba sur sa face et sourit ; et il dit en son cœur : Quoi ? Un centenaire engendrerait encore ? Et à quatre-vingt-dix ans, Sara deviendrait mère ?
Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.
" Sinon vainqueur insulte aux désastres de Troie. / Triomphant au milieu de nos murs enflammés, / un monstre affreux vomit des bataillons armés : / et, tandis que ses flancs enfantent leurs cohortes, / des milliers d'ennemis, se pressant sous nos portes, / fondent sur nos remparts à flots plus débordés / qu'ils n'ont jamais paru dans nos champs inondés. "
" Commandez à vos vents de servir ma furie ; / dispersez sur les mers ou noyez leurs vaisseaux, / et de leurs corps épars couvrez au loin les eaux. "
Et déjà sur la tombe appuyant mes genoux, / lutant contre la terre, et redoublant de force, / d'un troisième arbrisseau ma main pressait l'écorce, / quand du fond du tombeau ( j'en tremble encor d'effroi ! ) / une voix lamentable arrive jusqu'à moi :
Céléno reste seule, et ses cris menaçants / font du haut d'un rocher entendre ces accents : / " Lâches usurpateurs de notre antique terre ! / Quoi ! pour un vil butin vous nous livrez la guerre ! "
La pourpre que l'aiguille a brodée à grands frais, / l'argent pur étalé sur de riches buffets, / l'or, où, des rois de Tyr retraçant la mémoire, / l'art a de règne en règne imprimé leur histoire ; / tout d'un luxe royal offre la majesté.
Tel un affreux serpent, qui, nourri de poison, / sous la terre dormait dans la froide saison, / tout à coup reparaît, rayonnant de jeunesse, / s'étale avec orgueil, se roule, se redresse, / darde un triple aiguillon, et de son corps vermeil / allume les couleurs aux rayons du soleil.
Voyant les Grecs vainqueurs au sein de ses remparts, / son antique palais forcé de toutes parts, / l'ennemi sous ses yeux, d'une armure impuissante / ce vieillard charge en vain son épaule tremblante, / prend un glaive à son bras dès longtemps étranger, / et s'apprête à mourir plutôt qu'à se venger.
Au retour du printemps, tel aux essaims nouveaux / leur nouveau roi partage et prescrit leurs travaux : / sur les eaux, sur les fleurs, tout vole, tout s'empresse, / les unes de l'état élèvent la jeunesse ; / d'autres, d'un vol prudent, interrogent le ciel ; / d'autres forment la cire, et pétrissent le miel ; / d'autres viennent porter les tributs des campagnes ; / celles-ci font la guerre au frelon dévorant : / tout agit, tout s'emplit d'un nectar odorant.
De Ténédos leurs nefs partent sans bruit, / la lune en leur faveur laisse régner la nuit ; / l'onde nous les ramène, et la torche fatale / a fait briller ses feux sur la poupe royale. / À cet aspect, Sinon, que le ciel en courroux, / qu'une folle pitié protégea contre nous, / aux Grecs impatients ouvre enfin la barrière.
Quand Troie eut succombé, quand le fer et les feux / eurent détruit ses murs condamnés par les dieux, / et que, de ses grandeurs étonné de descendre, / le superbe Ilion fut caché sous la cendre, / innocents et proscrits, pour fixer nos destins, / il nous fallut chercher des rivages lointains. / Soumis aux lois du sort, aux oracles fidèle, / sous les hauteurs d'Antandre et du mont de Cybèle, / j'équipe des vaisseaux, incertain sur quel bord / vont nous guider les dieux, va nous jeter le sort.
Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.
Ce peu de mots à peine a redoublé leur rage ; / soudain, tels que dans l'ombre, avides de ravage, / court de loups dévorants un affreux bataillon, / qu'irrite de la faim le pressant aiguillon, / et que les fruits affreux de leur amour sauvage / attendent dans la nuit, altérés de carnage ; / au centre de la ville, au plus fort des combats, / nous volons à la gloire, ou plutôt au trépas. / Sur nous la nuit étend ses ailes ténébreuses.