Examples of using "Fare" in a sentence and their french translations:
Quel est le tarif du bus ?
Le prix du ticket pour enfants est moitié moins chère que le prix du ticket pour adulte.
Quel est le tarif pour Liverpool ?
Le coût du billet d'avion est plus cher que celui du billet de train.
Y a-t-il un tarif étudiant ?
Combien coûte un ticket de bus ?
"Comment ça va se passer au fil des ans?"
Il dit : et vers Carthage il avance à grands pas.
Combien coûte un ticket de bus ?
Que cela soit en bus ou en train, tout le monde doit payer son trajet.
Comme elle ne pouvait pas payer son billet, le conducteur du bus lui demanda de descendre.
" Qu'Iule m'accompagne, et qu'observant mes pas / mon épouse me suive et ne me quitte pas. "
Sur eux, le fer en main, nous fondons avec joie, / et nos dieux sont admis à cette riche proie. / Une table, dressée au bord courbé des mers, / se couvre de ces mets par le hasard offerts.
Du fond de leurs vaisseaux ils tirent le froment / à demi corrompu par l'humide élément. / De Cérès aussitôt le trésor se déploie ; / le feu sèche leurs grains, et la pierre les broie : / le banquet se prépare ; on partage aux vaisseaux / ces aliments sauvés de la fureur des eaux.
Dans l'ombre de la nuit, un célèbre guerrier, / Androgée, à nos coups vient s'offrir le premier. / Un corps nombreux le suit, il s'avance à leur tête, / et, nous croyant des Grecs : " Amis, qui vous arrête ? / Déjà nos compagnons, au pillage animés, / emportent d'Ilion les débris enflammés, / et vous, de vos vaisseaux vous descendez à peine ! "
Quand Troie eut succombé, quand le fer et les feux / eurent détruit ses murs condamnés par les dieux, / et que, de ses grandeurs étonné de descendre, / le superbe Ilion fut caché sous la cendre, / innocents et proscrits, pour fixer nos destins, / il nous fallut chercher des rivages lointains. / Soumis aux lois du sort, aux oracles fidèle, / sous les hauteurs d'Antandre et du mont de Cybèle, / j'équipe des vaisseaux, incertain sur quel bord / vont nous guider les dieux, va nous jeter le sort.
Ce peu de mots à peine a redoublé leur rage ; / soudain, tels que dans l'ombre, avides de ravage, / court de loups dévorants un affreux bataillon, / qu'irrite de la faim le pressant aiguillon, / et que les fruits affreux de leur amour sauvage / attendent dans la nuit, altérés de carnage ; / au centre de la ville, au plus fort des combats, / nous volons à la gloire, ou plutôt au trépas. / Sur nous la nuit étend ses ailes ténébreuses.