Examples of using "”no" in a sentence and their french translations:
Heu...
Hum...
- Dites !
- Raconte !
Voilà, on y est.
Donc qui ?
Allez, dis-moi !
Eh bien nous y voilà !
Oui, pourquoi pas ?
Qu'y a-t-il de si extraordinaire ?
- Saperlipopette !
- Oh, la vache !
Maintenant, écoute-moi bien !
Alors, quand exactement ?
- Eh bien, tu m'as convaincu.
- Eh bien, vous m'avez convaincu.
- Eh bien, vous m'avez convaincue.
- Eh bien, tu m'as convaincue.
Eh bien, rentre chez toi !
- Bon, on commence-tu ?
- Eh bien, devrions-nous commencer ?
- Bien sûr.
- Oh, bien sûr.
- Oh, bien entendu.
- Bien entendu.
Eh bien, allons-y.
Enfin, merde.
Eh bien, ça vaut le coup d'essayer.
Pourquoi pas ?
Alors, quel est votre problème ?
D'accord.
- Laisse tomber.
- Allez bon.
- Oh, c'est pas grave.
La vache !
- Alors, t'es pas content de me voir ?
- Eh bien, n'êtes-vous pas heureux de me voir ?
- C'est l'heure d'aller au lit.
- C'est l'heure de se coucher.
Allez, les enfants, c'est l'heure d'aller au lit.
Bien sûr !
- Ça alors, c'est incroyable !
- Incroyable !
- Mince, c'est incroyable !
Et demain soir ?
Et voilà. J'espère que c'était pas une mauvaise décision.
Allez, joue avec moi, j'm'ennuie trop !
Allez, monte !
J'ai essayé de te le dire.
C'est pourquoi je t'ai dit de ne pas y aller en voiture !
- Bien sûr !
- Pour sûr.
- Mais ouais !
- Pardi !
Combien de pommes ?
« Ça sent pas trop bon ? » « C’est clair ! »
« Tu me détestes ? » « Non. » « Alors tu m’aimes ? » « Pourquoi tu demandes ? »
« T’as pas de copine ? » « Non. » « Un copain, alors ? »
Vous voulez que je creuse pour capturer la mygale ? C'est parti.
Eh bien, c'est compliqué.
“Eh bien, nommez tout ce qui a persisté depuis 10 000 ans.
- Comment s'est déroulé ton examen ?
- Comment s'est déroulé votre examen ?
Il n'a pas que la nourriture en tête. Vingt sur vingt pour sa persévérance.
Bien sûr !
Mon Dieu ! Tu es la dernière personne que je m'attendais à voir dans une telle situation.
« Pourquoi des phrases ? », pourriez-vous demander. Eh bien, c'est parce que les phrases sont plus intéressantes.
Voilà mes principes, et si vous ne les aimez pas...eh bien, j'en ai d'autres.
- Je te l'avais bien dit !
- Je te l'avais dit !
Ce n'est pas surprenant.
- Je ne sais pas.
- Comment le saurais-je ?
Merci bien.
Pourquoi pas ?
- Venons-en au fait.
- Entrons dans le vif du sujet.
Ouais, je me sentais mal quand nous avons rompu, mais ça ne m'empêche pas de dormir.
"Bon, tu sors avec moi si je ne redouble pas ?" "Les "si" ne m'intéressent pas".
Je suis responsable ?
C'est très étrange.
« Café ? » « Instantané ? » « Oui. » « Alors, non. »
« De quoi as-tu l'air, Tom ? » – « Eh bien j'ai deux yeux, un nez, une bouche...» – « Ah mais ça n'est pas du tout ce que je voulais savoir ! »
« T’as un truc de prévu, après les cours ? » « Rien de spécial, pourquoi ? » « Il y a un endroit où j’aimerais bien aller. Tu veux pas venir avec moi ? »
« J’arrive maintenant à compter de un à cent en français. » « Waouh, super ! Bon, maintenant, tu peux le faire à l’envers, en partant de cent jusqu’à un ? » « Euh, ça, je peux pas encore. »
C'est ma faute ?
- C'est pas possible !
- Impossible !
- Hors de question !
- En aucun cas.
- Sans façons !
- C'est hors de question !
- Il n'en est pas question !
- C'est exclu !
- En aucune manière !
- Hors de question !
- Mais qu’est-ce que ça peut faire si je suis gay ? Est-ce que c’est un crime ?
- Mais qu’est-ce que ça peut faire si je suis homo ? Est-ce un crime ?
« C’est bien toi qui a traduit ça, Tom ? » « Ouais, pourquoi ? » « C’est quoi, le “modemisme” ? » « Je sais pas, c’est ce qu’il y avait écrit dans le texte original. » « T’es sûr ? » « Mais oui, je te dis. Regarde. » « Ah, mais c’est “modernisme”, en fait. »
« Chérie, vite, vite ! Ce site web, Tatoeba, vend ses collections de phrases aux enchères pour un centime chacune ! Ils ont même une offre spéciale du type : pour cent achetées, on vous en offre une ! » « Ah, super ! Voilà maintenant que les gens collectionnent des phrases ! Mais où va le monde ? »
Maintenant, il est vrai que je crois que ce pays suit un chemin dangereux lorsqu'il autorise un degré trop grand de centralisation des fonctions gouvernementales. Je m'y oppose - dans certains cas, le combat est plutôt désespéré. Mais, pour parvenir au moindre succès, il est assez clair que le gouvernement fédéral ne peut pas éviter ou échapper aux responsabilités dont la masse des gens sont fermement convaincus qu'il devrait les entreprendre. Les processus politiques de notre pays sont tels que, si le règne de la raison n'est pas employé dans cet effort, nous perdrons tout - même jusqu'à un changement dans la constitution, possible et radical. C'est ce que je veux dire par mon insistance constante sur la « modération » dans le gouvernement.
Le repas copieux pris et son cartable fin prêt, Link chercha in extremis du réconfort auprès de ses amis. "Zelda, j'ai besoin de conseils." "Tu n'as quand même pas déjà peur", dit Zelda, renfrognée. "Non. Je veux juste l'avis de quelqu'un qui a déjà été au lycée et tu es la personne la plus intelligente que je connaisse !" Link sourit. Zelda laissa échapper un léger rire. "Merci. Toi alors..." "Les profs sont d'une sévérité à couper le souffle !" interrompit le roi d'un sourire malicieux. "Hein ?!" "Père !" s'exclama la princesse d'un ton réprobateur. "Désolé, poursuis." "Donc, Link-" Cette fois, un bruit de klaxon lui coupa la parole. "Ça doit être mon bus qui arrive," dit Link prestement, "Au revoir, tout le monde !" "Gare au hachis surprise !" Gwonam sembla jaillir de nulle part. "Hé, évite d'être touché !" ajouta le Roi et les deux ricanèrent. Link, pris de court, sembla brièvement vexé, mais Zelda lui témoigna son soutien : "Ne t'occupe pas d'eux, Link. Ça ira. J'en suis sûr..." "Ne t'inquiète pas, Zelda. Tout ira bien." Link redevint aussitôt radieux. "Bien. Embrasse-moi avant de partir." Mais Link fit volte-face et rétorqua sournoisement et avec une cruauté d'ado, "Dans tes rêves, princesse ! Voilà longtemps que je n'ai plus d'illusions avec toi. Mais je t'aime toujours," ajouta-t-il après coup avant de quitter le château. "Je ne vois pas ce qui la préoccupe. Tout ira bien" se dit-il en montant dans le bus, confiant.