Examples of using "Goddess" in a sentence and their french translations:
Haakon avec son aide de déesse surnaturelle, son aide de déesse de famille, Lathgertha.
- Je t'aime, ma déesse !
- Je t'aime, ma déesse !
Elle est la déesse des orgies.
C'est la déesse mère des montagnes.
L'équivalent romain de la déesse Artémis était Diane.
" Cependant, de Pallas pour remplacer l'image, / surtout pour expier leur sacrilège outrage, / ils ont à la déesse offert ce nouveau don. "
" Il faut fléchir Pallas, il faut offrir des vœux, / et conduire en nos murs ce colosse pompeux. "
En prononçant ces mots, la déesse en furie / vers ces antres, d'Éole orageuse patrie, / précipite son char.
" Berceau de nos aïeux, ces lieux nous redemandent : / la déesse ma mère et les dieux le commandent. "
Didon, au centre obscur du bois majestueux, / pour Junon bâtissait un temple somptueux : / plein des plus riches dons, et plein de la déesse, / des colonnes d'airain annonçaient sa richesse ; / l'airain couvrait le seuil de son parvis divin, / et les gonds gémissaient sous des portes d'airain.
Là, les femmes de Troie, avançant lentement, / à Pallas apportaient un riche vêtement, / se meurtrissant le sein, humblement gémissantes ; / l'habit sacré brillait dans leurs mains suppliantes : / Pallas baissait les yeux, et repoussait leur don.
Enfin, dans les replis de ce couple sanglant, / qui déchire son sein, qui dévore son flanc, / il expire... Aussitôt l'un et l'autre reptile / s'éloigne ; et, de Pallas gagnant l'auguste asile, / aux pieds de la déesse, et sous son bouclier, / d'un air tranquille et fier va se réfugier.
De l'éclat de ses traits Didon reste frappée ; / de ses malheurs, de lui son âme est occupée. / "O noble sang des dieux, que je plains vos revers ! / dit elle. Quel destin vous jette en ces déserts ? "
Elle dit : à ces mots, / elle quitte son fils ; mais aux yeux du héros / elle offre, en détournant sa tête éblouissante, / d'un cou semé de lis la beauté ravissante : / de ses cheveux divins les parfums précieux / semblent, en s'exhalant, retourner vers les cieux : / sa robe en plis flottants jusqu'à ses pieds s'abaisse ; / elle marche, et son port révèle une déesse. "
Énée à la déesse / répond en peu de mots : " La jeune chasseresse / que vous me dépeignez, nous n'avons, dans ces bois, / ni rencontré ses pas, ni reconnu sa voix. / O vous ! mais de quel nom faut-il qu'on vous appelle ? / Cet air ni cette voix ne sont d'une mortelle : / oui, cet accent céleste, et cette majesté , / tout annonce dan vous une divinité, / une nymphe des bois, ou Diane elle-même, / une sœur de Diane. O déité suprème ! "
Ainsi je m'emportais, lorsque dans la nuit sombre / ma mère, dissipant la noire horreur de l'ombre, / jeune, brillante, enfin telle que dans les cieux / des immortels charmés elle éblouit les yeux, / me retient, et me dit de sa bouche de rose :
Il ne me répond rien. Puis, d'un ton plein d'effroi, / poussant un long soupir : " Fuis, dit-il, sauve-toi ; / sauve-toi, fils des dieux ; contre nous tout conspire : / il fut un Ilion, il fut un grand empire. / Tout espoir est perdu ; fuis : tes vaillantes mains / ont fait assez pour Troie, assez pour nos destins. / Notre règne est fini, notre heure est arrivée. "
Voilà qu'au fond d'un bois se présente sa mère ; / son air, son vêtement, sa démarche légère, / d'une vierge de Sparte offre tous les dehors ; / ou telle, au pied d'Hémus, l'Hèbre voit sur ses bords / l'Amazone, animant les coursiers qu'elle dresse, / voler, et de ses flots devancer la vitesse.
Achate au chef troyen tient alors ce langage : / " Fils des dieux ! vous voyez, vos vaisseaux sont sauvés, / vos guerriers réunis, vos amis retrouvés : / un seul manque à nos vœux, malheureuse victime, / que la mer à nos yeux engloutit dan l'abîme. / Au discours de Vénus jusqu'ici tout répond. "
C'est là qu'étaient ses armes, / c'est là qu'était son char ; là, son superbe espoir / veut voir la terre entière adorer son pouvoir.
" Mais, vous, puis-je connaître / de quel sang vous sortez, quels lieux vous ont vu naître, / où s'adressent vos pas ? " Elle dit. Le héros, / poussant du fond du cœur de douloureux sanglots : / " O déesse ! dit-il, si du sort qui m'accable / j'essayais de conter l'histoire lamentable, / dans ce triste récit j'épuiserais le jour. "
" Mais du moment funeste / qu'Ulysse, de forfaits détestable inventeur, / que le fils de Tydée, affreux profanateur, / osèrent, à travers la garde massacrée, / enlever sur l'autel son image sacrée, / et que leur bras sanglant d'un sacrilège affront / souilla les saints bandeaux qui couronnent son front, / dès lors plus de succès, plus d'espoir ; la déesse / à son triste destin abandonna la Grèce. / Plus d'un signe effrayant signala son courroux. "
" Fils des dieux ! / Oui, le ciel te prépare un destin glorieux ; / et, dans le cours changeant de sa marche éternelle, / le sort accomplira cette loi solennelle. / Mais il faut, avant tout, t'indiquer les chemins / des mers à qui tu dois confier tes destins. / Je ne m'étendrai point sur tout ce qui te touche ; / à de plus grands secrets Junon ferme la bouche ; / et la Parque, à mes yeux soulevant le rideau, / n'écarte qu'à demi leur terrestre bandeau. "
" Enfin, dans l'avenir s'il m'est permis de lire, / Hélénus ne peut trop le dire et le redire : / Junon fit tous tes maux et les prolonge tous : / de la reine des dieux désarme le courroux ; / n'épargne point l'encens, les vœux, ni la prière : / ainsi tu fléchiras cette déesse altière ; / et tes heureux vaisseaux des bords siciliens / parviendront sans obstacle aux ports ausoniens. "