Examples of using "Bare" in a sentence and their french translations:
C'est le strict minimum.
Les murs étaient nus.
Marie avait les épaules dénudées.
Et cette image,
Les arbres sont déjà dénudés.
Elle a fait le strict minimum.
- La colline est déboisée.
- La colline est nue.
- Les arbres seront vite dénudés.
- Les arbres seront bientôt dénudés.
Il était torse nu et pieds nus.
De nombreux arbres sont dénudés en hiver.
La pièce était dépourvue de meubles.
Je n'ai fait que le strict minimum.
Le raisonnement et la science mettent les légendes à nu.
Le carrelage était froid sous ses pieds nus.
Je peux te dépecer à mains nues.
En utilisant de simples outils et ses mains,
Elle l'a étranglé de ses propres mains.
Je peux te dépecer à mains nues.
Je pourrais te dépecer à mains nues.
Le moindre mot de critique la rend nerveuse.
Quelquefois il apparaissait tout à coup derrière Emma, tête nue.
Les rayons du supermarché étaient presque vides.
Le sol était froid sous ses pieds nus.
aucune épinette ne devrait être abattue cette année : nus.
L'appartement était complètement vide quand nous avons emménagé.
Je pourrais te dépecer à mains nues.
Ne frottez pas le sol à main nue.
et de faire faire une seconde estimation.
- Il est trop timide pour lui ouvrir son cœur.
- Il est trop timide pour lui découvrir son cœur.
On ne peut pas marcher pieds nus sur du sable brûlant.
Le fait que je sois nu-pieds le dérangeait apparemment plus que toute autre chose.
Hier, j'ai attrapé un gros poisson à mains nues.
Il est dur d'écraser une mouche à mains nues.
Ne sors pas avec cette chaleur sans te couvrir la tête.
Ses pieds étaient découverts, ainsi que le voulait la coutume de l'époque.
À part une coupe de fruits, la table de la cuisine était vide.
je ne supporte pas l'idée des conséquences que mon « non » pourrait
- Il est difficile d'attraper un lièvre à mains nues.
- Il est difficile d'attraper un lièvre avec les mains.
- Il est difficile d'attraper un lièvre à la main.
Les tuteurs vasculaires enrobés n'ont pas prouvé leur supériorité sur les tuteurs vasculaires nus.
J'avais le haut du corps nu. Puis il y eut un grondement à la porte.
Même si la viande est déjà partie, ça sert à tellement de choses.
Même si la viande est déjà partie, ça sert à tellement de choses.
Le nouveau Président veut réduire les dépenses de soins de santé à un strict minimum.
As-tu vu cette vidéo où le président Obama tue une mouche à mains nues ?
Les rayons vides ont plus à voir avec la logistique qu'avec la quantité de nourriture produite.
Une petite ampoule nue était la seule source de lumière.
" Je vous atteste ici, qu'infidèle envers moi / mon pays pour toujours a dégagé ma foi ; / que je puis rompre enfin le serment qui m'enchaîne, / révéler ses secrets, et lui vouer ma haine. "
Il voit Penthésilée, / terrible, au vol des dards, au choc de la mêlée, / opposant le croissant d'un léger bouclier ; / sur son sein découvert nouant un baudrier, / tourner, voler, frapper, signaler sa grande âme, / et montrer un héros sous l'habit d'une femme.
Cela ferait vingt-sept mots au lieu de quatre, et même si le message brut de la longue phrase serait compris, la force de persuasion serait perdue.
Les uns sur la cime des flots / demeurent suspendus ; d'autres au fond des eaux / roulent, épouvantés de découvrir la terre : / aux sables bouillonnants l'onde livre la guerre.
" Enfin nous respirons ; enfin, après dix ans, / Ilion d'un long deuil affranchit ses enfants. / Le libre citoyen ouvre toutes ses portes, / vole aux lieux où des Grecs ont campé les cohortes. / On aime à voir ces champs témoins de nos revers, / ces champs abandonnés, ces rivages déserts. "
" Deux monstres sont placés sur ce double rivage : / Carybde, qui dévore, en son avide rage, / les flots précipités dans ses antres sans fonds, / et soudain les vomit de leurs gouffres profonds ; "
J’ai vu plus d’une fois, du fond d’une caverne noire, les jeunes filles de Kole ou d’Oëlmoe laver leurs pieds nus dans l’eau des torrents, en chantant d’une voix douce.
" Les uns courent au loin répandre le carnage ; / d'autres, le fer en main, gardent chaque passage : / l'affreux tranchant du glaive, et la pointe des dards, / prêts à donner la mort, brillent de toutes parts ; / et de gardes tremblants à peine un petit nombre / se défend au hasard, et résiste dans l'ombre. "
" Mais bientôt d'un époux privé de sépulture / le spectre, s'élevant du sein de l'ombre obscure, / triste, pâle et sanglant, apparut à ses yeux, / dévoila de sa mort le mystère odieux, / et cette cour barbare, et l'autel homicide. "
Pareil est son habit, pareil est son carquois ; / sa flèche semble attendre un habitant des bois ; / un souple brodequin compose sa chaussure ; / au-dessus du genou, les nœuds de sa ceinture / de ses légers habits serrent les plis mouvants / et ses cheveux épars flottent au gré des vents.
" Les Troyens aveuglés vainement l'entendirent. / Sans cet aveuglement, sans le courroux des dieux, / dans les flancs entr'ouverts du colosse odieux / nous aurions étouffé les fléaux près d'éclore ; / et toi, chère Ilion, je te verrais encore ! "
Mais la faim presse : alors leur diligente main / dépouille avec ardeur leur sauvage butin, / divise par le fer la proie encor vivante, / enfonce un bois aigu dan la chair palpitante ; / d'autres sur des trépieds placent l'airain bouillant, / que la flamme rapide embrase en petillant.
" Ou les Grecs sont cachés dans ces vastes contours, / ou ce colosse altier, qui domine nos tours, / vient observer Pergame ; ou l'affreuse machine / de nos murs imprudents médite la ruine. / Craignez les Grecs, craignez leurs présents désastreux : / les dons d'un ennemi sont toujours dangereux. "
Cependant du héros, tandis que tout sommeille, / mille soins inquiets ont prolongé la veille. / Le jour naissant à peine a blanchi les coteaux, / il sort, va visiter ces rivages nouveaux : / sont-ils peuplés d'humains ou de monstres sauvages ?
Voyant le noble feu qui brûle dans leur sein : / " Cœurs généreux, hélas ! et généreux en vain, / vous le voyez : la flamme en tous lieux se déploie ; / comme nous asservis, les faibles dieux de Troie / de leurs temples brûlants ont quitté les autels. / Les dieux nous ont trahis ; et nous, faibles mortels, / nous secourons des murs qu'ils ne purent défendre ! / Qu'importe, amis ? mourons dans nos remparts en cendre, / mourons le fer en main, voilà notre devoir. "