Examples of using "Adore" in a sentence and their french translations:
J'adore sa fille.
J’adore les éléphants.
Je t'adore.
- J'adore le vendredi !
- J'adore les vendredis !
- Ils la vénèrent.
- Elles la vénèrent.
J'adore les papillons.
Elles adorent Tom.
- Mes parents t'adorent.
- Mes parents vous adorent.
- J'adore votre fille.
- J'adore ta fille.
J'adore cette chaise.
- Leurs parents l'adorent.
- Leurs parents les adorent.
Nos parents nous adorent.
J'adore la mer.
J'adore le soleil.
J'adore la poésie et la musique.
On adore pique-niquer.
dans l’endroit que j'adore,
Nous adorons les pique-niques.
J'adore la nature.
- Ils adorent Tom.
- Elles adorent Tom.
- Elles aiment Tom.
J’adore aller au cinéma.
J'adore les papillons.
- Je t'adore.
- Je t'aime au coton.
Je t'adore.
à tous ceux qui adorent l'époque napoléonienne.
J'adore ta fille.
Jimmy a 3 frères et sœurs cadets qui l'adorent.
J'adore ma famille.
J'adore l'océan.
Surtout, j'ai des parents qui m'adorent.
pour ceux qui adorent cette période dramatique de l'histoire.
J’adore aller au cinéma.
J’adore aller au cinéma.
Anchise lève aux cieux ses vénérables mains : " Dieux ! ô dieux ! écartez ces fléaux inhumains ! / Venez à moi, dit-il, déités que j'encense ! / Secourez le malheur, secourez l'innocence ! "
" Ce n'est pas tout encor : lorsque sur le rivage / aux dieux conservateurs tu paîras ton hommage, / qu'un long voile de pourpre, abaissé sur tes yeux, / dérobe à tes regards tout visage odieux ; / défends qu'aucun objet d'un augure sinistre / ne trouble le présage ainsi que le ministre. "
" Et moi, qui marche égale au souverain des cieux, / moi, l'épouse, la sœur du plus puissant des dieux, / armant contre un seul peuple et le ciel et la terre, / vainement je me lasse à lui livrer la guerre ! / Suis-je encore Junon ? et qui d'un vain encens / fera fumer encor mes autels impuissants ? "
" Enfin, dans l'avenir s'il m'est permis de lire, / Hélénus ne peut trop le dire et le redire : / Junon fit tous tes maux et les prolonge tous : / de la reine des dieux désarme le courroux ; / n'épargne point l'encens, les vœux, ni la prière : / ainsi tu fléchiras cette déesse altière ; / et tes heureux vaisseaux des bords siciliens / parviendront sans obstacle aux ports ausoniens. "