Translation of "Brasileño" in French

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Examples of using "Brasileño" in a sentence and their french translations:

Soy brasileño.

Je suis Brésilien.

Neymar es brasileño.

Neymar est brésilien.

Carlos es brasileño.

Carlos est brésilien.

El autor es brasileño.

L'auteur est brésilien.

- Soy brasileño.
- Soy brasilero.

Je suis Brésilien.

Soy brasileño, ¿y tú?

Je suis brésilien, et toi ?

Me gusta el clima brasileño.

J'aime le climat brésilien.

Robert es brasileño. Su padre es canadiense.

Robert est brésilien. Son père est canadien.

- Soy brasileño.
- Soy brasileña.
- Soy brasilero.
- Soy brasilera.

- Je suis Brésilien.
- Je suis Brésilienne.

La última hora de la tarde en el Gran Pantanal brasileño.

Fin d'après-midi au Pantanal brésilien.

- Guilherme es de Brasil. Es brasileño.
- Guilherme es de Brasil. Es brasilero.

Guilherme vient du Brésil. Il est Brésilien.

Bueno, como tengo 50 cm de extensiones de cabello brasileño en mi cabeza,

Bon, vu que j'ai 50 centimètres d'extensions brésiliennes sur la tête,

Mi nieto brasileño y su esposa rusa viven en Brasil. Tienen un hijo y una hija, mis bisnietos.

Mon petit-fils brésilien et sa femme russe vivent au Brésil. Ils ont un fils et une fille – mes arrière-petits-enfants.

En nombre del presidente brasileño Luiz Inácio Lula da Silva, Cláudio Soares Rocha expresó admiración por los esfuerzos que los esperantistas de todo el mundo realizan con el fin de lograr una difusión cada vez mayor del esperanto. Entre otras cosas, escribió: “Sabemos que en la historia de la humanidad han existido lenguas que se impusieron como consecuencia de la hegemonía política, como el latín, o en cierto grado el francés y después el inglés. Nuestro mayor deseo es que, en efecto, el esperanto llegue a ser aceptado por la mayoría de las naciones como una lengua adoptada para facilitar la comunicación sin privilegios lingüísticos.”

Au nom du président du Brésil, Luiz Inácio Lula da Silva, Cláudio Soares Rocha a exprimé son admiration pour les efforts entrepris par les espérantophones du monde entier, visant à une expansion toujours plus large de l’espéranto. Il a écrit entre autres : « Nous savons que dans l’histoire de l’humanité, des langues se sont imposées par hégémonie politique, par exemple le latin, ou dans une certaine mesure le français et ensuite l’anglais. Nous souhaitons ardemment que l’espéranto soit effectivement reconnu, un jour, par la majorité des nations, comme une langue choisie pour faciliter l’intercommunication sans privilèges linguistiques. »