Examples of using "“vós" in a sentence and their french translations:
Vous êtes des généraux.
Vous êtes des commandants.
- Où es-tu ?
- Où êtes-vous ?
Vous êtes maintenant des satrapes.
alors vous tous - partez !
Que voulez-vous?
Vous êtes mes invités.
Où êtes-vous donc ?
Je mange ce que vous mangez.
Je n'ai pas plus de repos que vous.
Vous parlez.
Vous avez fait du bon travail.
- Tu lisais.
- Vous lisiez.
- Vous qui entrez, abandonnez toute espérance.
- Tout espoir abandonne celui qui entre ici.
Vous qui entrez, abandonnez toute espérance.
Êtes-vous ensemble ?
Vous êtes la lumière du monde.
Si vous venez, nous venons aussi.
- Vous vous souvenez ?
- Vous rappelez-vous ?
Vous êtes occupé aujourd'hui, n'est-ce pas ?
Vous me chercherez, et ne me trouverez pas; et où je suis, vous ne pouvez pas venir.
- Tu es extraordinaire.
- Vous êtes extraordinaire.
Pour autant que je m'en soucie, vous pouvez aller où vous voulez.
La plupart d'entre vous portent des couronnes dorées.
Votre ange gardien veille sur vous.
seulement les choses que j'ai en commun pour vous tous.
Mais puisque vous voulez tous y aller,
Vous qui entrez, abandonnez toute espérance.
J'ai besoin de vous.
Vous avez perdu vos lunettes.
Vous, vous êtes d'en bas; moi, je suis d'en haut. Vous, vous êtes de ce monde; moi, je ne suis pas de ce monde.
" Vous tous, qui conservez l'ardeur du premier âge, / dont le sang, jeune encore, enflamme le courage, / mes chers enfants, fuyez. "
et vous pouviez à peine les défendre contre vos voisins.
Vous prenez bien soin de Mary.
Il t'en faut peu.
Vous avez peur des chiens.
Vous auriez dû nous appeler.
- Tu es le sang de mon sang, la chair de ma chair.
- Vous êtes le sang de mon sang, la chair de ma chair.
Qu'est-ce que vous creusez ?
Je leur dirai que tu as demandé.
Quand Philippe vous a trouvé, vous étiez des vagabonds sans défense habillés de peaux.
Et toi, comment vas-tu ?
Que celui d'entre vous qui est sans péché lui jette le premier une pierre!
- Tu es important.
- Vous êtes important.
- Vous êtes importants.
- Vous êtes importantes.
- Tu es importante.
- Vous êtes importante.
Voici le pacte que vous observerez, qui est entre moi et vous, jusqu’à ta dernière postérité : circoncire tout mâle d’entre vous. Vous retrancherez la chair de votre excroissance, et ce sera un symbole d’alliance entre moi et vous.
De nombreuses fois, j'ai passé la nuit de garde, afin que vous dormiez convenablement et sans peur.
Y a-t-il quelque chose que vous ne mangez pas ?
Ce chapeau est trop petit pour vous.
Vous êtes le dernier espoir de l'humanité.
Vous allumiez des bougies dans votre chambre.
Ainsi, tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le vous-mêmes pour eux.
Tu dois arrêter de fumer.
Nous sommes meilleurs et plus appliqués que vous.
Qui d'entre vous croit qu'il a travaillé plus dur pour moi que moi pour vous ?
Qu'une seule loi et qu'un seul droit valent pour toi et pour l'étranger qui réside avec toi.
- Vous me comprenez.
- Tu me comprends.
Nous donnons bien souvent de divers noms aus choses: des épines pour moi, vous les nommez des roses.
J'ignore pourquoi vous l'écoutez.
- Vous êtes vieux.
- Vous êtes vieilles.
- Vous êtes vieille.
As-tu peur de Tom ?
Il n'y a pas grand-chose que je puisse faire pour vous.
Quand avez-vous vu Tom en dernier lieu ?
- « Mes amis, compagnons de route de vieilles mésaventures, vous qui avez subi les épreuves les plus sévères, vous verrez que le ciel mettra fin aussi à celles-ci. »
- " Compagnons, leur dit-il, relevez vos courages ; / l'âme se fortifie au milieu des orages. / Ce n'est pas d'aujourd'hui que commencent vos maux ; / vous avez éprouvé de plus rudes assauts : / ceux-ci, n'en doutez point, s'apaiseront de même. "
La connaissez-vous vraiment ?
« Miroir, petit miroir, Quelle est la plus belle de tout le pays ? » Et le miroir répondait toujours: « Vous ma reine, êtes la plus belle de toutes. »
Tu m'as brisé le cœur.
As-tu peur des films d'horreur ?
" Viens, Junon ! viens Bacchus, source aimable de joie ! / et vous, ô Tyriens, joignez-vous à mes vœux ! "
- Y étais-tu ?
- Y étiez-vous ?
- Que pensez-vous du réchauffement climatique ?
- Qu'est-ce que tu penses du réchauffement climatique ?
- Me connaissez-vous ?
- Me connais-tu ?
- On se connait ?
- Tu sais qui je suis ?
- Tu me connais ?
Tu t'es mouillé ?
" Car, si quelqu'un de vous, d'un bras profanateur, / attentait sur ce don offert à la déesse, / bientôt, assouvissant sa fureur vengeresse, / ( Dieux puissants, sur les Grecs détournez son courroux ! ) / d'épouvantables maux éclateraient sur vous. / Mais, si vos murs s'ouvraient à ce don tutélaire, / sur nous-mêmes dès lors renvoyant sa colère, / vous dompteriez la Grèce, et votre empire heureux / s'étendrait à jamais sur nos derniers neveux. "
- Je t'aime !
- Je vous aime.
- Tu es trop suspicieux de tout.
- Tu es trop suspicieuse de tout.
- Vous êtes trop suspicieux de tout.
- Vous êtes trop suspicieuses de tout.
- Vous êtes trop suspicieuse de tout.
Pénibles, très pénibles sont les semailles, mais doux et bénis seront les fruits. Éminent et significatif est votre rôle. Tout le monde espérantiste vous regarde, espérant beaucoup de vous.
- T'as tout foutu en l'air.
- Tu as tout foutu en l'air.
- Vous avez tout foutu en l'air.
- T'as tout fait foirer.
- Tu as tout fait foirer.
- Vous avez tout fait foirer.
- Aimez-vous vos enfants ?
- Aimes-tu tes enfants ?
- Ok, tu as gagné.
- Ok, vous avez gagné.
- D'accord, tu as gagné.
- D'accord, vous avez gagné.
- Quel livre as-tu lu ?
- Quel livre avez-vous lu ?
Nous hâtons à regret ce départ douloureux ; / je leur dis en pleurant : " Adieu, vivez heureux ! / Vous ne redoutez plus la fortune inconstante ; / et nous, tristes jouets d'une si longue attente, / le sort de mer en mer nous promène à son gré. "
Tu as mangé quoi, ce midi ?
- Je t'aime !
- Je vous aime.
- Je t'adore.
- Je t'aime.
" Et vous, qu'un noble zèle attache à votre maître, / écoutez : hors des murs vos yeux verront paraître / un coteau d'où s'élève un temple où les mortels / de Cérès autrefois encensaient les autels ; / non loin est un cyprès respecté par les âges, / et qui de nos aïeux recevait les hommages. "
Tu es la femme que j'aime.
- Tu es vieux.
- Tu es vieille.
- Vous êtes vieux.
- Vous êtes vieilles.
- Vous êtes vieille.
- Tu devrais le faire.
- Vous devriez le faire.
Qu'est-ce que tu attendais ?
- Je parie que vous êtes occupé.
- Je parie que vous êtes occupée.
- Je parie que vous êtes occupés.
- Je parie que vous êtes occupées.
- Je parie que tu es occupé.
- Je parie que tu es occupée.
- Combien d'amis proches est-ce que tu as ?
- Combien d'amis proches avez-vous ?
Énée, à cet aspect, frissonne d'épouvante. / Levant au ciel ses yeux et sa voix suppliante : / " Heureux, trois fois heureux, ô vous qui, sous nos tours, / aux yeux de vos parents, terminâtes vos jours ! "
O vous, cendres de Troie ! et vous, flammes funestes ! / qui de mon Ilion dévorâtes les restes ! / Je vous atteste ici qu'affrontant les combats, / malgré moi le destin me sauva du trépas ; / et, si le sort cruel n'eût conservé ma vie, / que j'avais mérité qu'elle me fût ravie.
- N'as-tu pas sommeil ?
- N'avez-vous pas sommeil ?
- Comment nous avez-vous trouvés ?
- Comment nous avez-vous trouvées ?
- Comment nous as-tu trouvés ?
- Comment nous as-tu trouvées ?
- Tu es sur mon chemin.
- Vous êtes sur mon chemin.
- Vous vous trouvez en travers de mon chemin.
- Tu te trouves en travers de mon chemin.
- Tu n'étais pas obligé de dire oui.
- Tu n'étais pas obligée de dire oui.
Avez-vous vu cet homme?
Je n'ai d'yeux que pour toi.