Translation of "Embrasse" in Portuguese

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Examples of using "Embrasse" in a sentence and their portuguese translations:

Embrasse Tom.

Beije Tom.

Embrasse-moi.

Me beija.

Tom embrasse Marie.

Tom abraça Maria.

Tom embrasse bien.

Tom beija bem.

Tom embrasse sa femme.

- Tom está beijando a mulher.
- Tom está beijando a esposa.

L'homme embrasse la femme.

O homem beija a mulher.

- Embrasse-moi.
- Embrassez-moi.

- Me beija.
- Dê-me um beijo.
- Beije-me.
- Me beije.

Qui trop embrasse mal étreint.

Quem tudo quer, nada tem.

Qui trop embrasse, mal étreint.

Quem muito abraça, pouco aperta.

- Embrassez la reine !
- Embrasse la reine !

Beija a rainha!

- Bisous, Jon.
- Je vous embrasse, Jon.
- Je t'embrasse, Jon.

Com amor, Jon.

- Embrasse-moi.
- Donne-moi un baiser !
- Donne-moi un bisou !

Beija-me.

Il dit, et d'une main embrasse Ilionée, / tend l'autre vers Sergeste, ensuite ouvre les bras / au courageux Cloanthe, au valeureux Gyas.

Dito isto, logo estende a mão direita / ao velho amigo Ilioneu e a esquerda / a Seresto; e, um por um, vai apertando / as mãos dos outros companheiros, entre os quais / o valente Cloanto e o destemido Gias.

- Je n'arrive pas à croire que je t'embrasse.
- Je n'arrive pas à croire que je vous embrasse.
- Je n'arrive pas à croire que je sois en train de t'embrasser.
- Je n'arrive pas à croire que je sois en train de vous embrasser.

Não posso acreditar que estou beijando você!

Anius vient à nous, le front ceint à la fois / du laurier prophétique et du bandeau des rois ; / il voit, il reconnaît, il embrasse mon père, / tend à son vieil ami sa main hospitalière, / et, reserrant les nœuds d'une antique union, / reçoit dans son palais les restes d'Ilion.

Ânio, que o cetro de regente ostenta / e o sacerdócio exerce, as têmporas cingidas / do loureiro febeu e de ínfulas sagradas, / ao nosso encontro vem, e, o velho amigo Anquises / reconhecendo, hospitaleiro nos aperta / as mãos e nos conduz ao seu palácio.

À ces mots, je saisis, sans espoir de défense, / d'un bras mon bouclier, et de l'autre ma lance. / Je sortais en fureur de ce séjour de deuil, / quand mon épouse en pleurs m'arrête sur le seuil, / embrasse mes genoux, éperdue et tremblante, / me présente mon fils, et, d'une voix touchante:

Cinjo de novo a espada e, ao braço esquerdo / afivelando a alça do escudo, vou saindo, / quando Creúsa no limiar me atalha / e, ajoelhando-se, em pranto, aponta-me meu filho, / o pequenino Iulo, e grita:

Mais au fond du palais quel tableau lamentable ! / Partout l'effroi, le trouble et les gémissements : / les femmes, perçant l'air d'horribles hurlements, / dans l'enceinte royale errent désespérées ; / l'une embrasse à genoux ses colonnes sacrées, / l'autre y colle sa bouche, et ses mains, et ses yeux, / et par mille baisers leur fait de longs adieux.

Reinam, porém, lá dentro a dor e o desespero; / pelas abóbadas ecoam feminis / gritos agudos e o clamor atinge os astros, / que indiferentes ao horror fulguram. / Tomadas de terror alucinante, / pelos vastos salões a esmo correm / senhoras, abraçando-se aos umbrais / das portas e de beijos os cobrindo.

L'olympe cependant, dans son immense tour, / a ramené la nuit triomphante du jour ; / déjà, du fond des mers jetant ses vapeurs sombres / avec ses noirs habits et ses muettes ombres, / elle embrasse le monde ; et ses lugubres mains / d'un grand voile ont couvert les travaux des humains, / et la terre, et le ciel, et les Grecs, et leur trame. / Un silence profond règne au loin dans Pergame : / tout dort.

Entretanto, o céu gira e do oceano / a noite precipita-se, envolvendo / em sombra espessa a terra e o mar e dos argivos / a cilada; por toda a cidade os troianos / lassos ao sono entregam-se: há silêncio.