Examples of using "Poissa" in a sentence and their french translations:
Défense d'entrer.
- N'entre pas.
- N'entrez pas.
Je n'étais pas là.
Je n'ai plus mal à la tête.
- Te mets pas dans la merde.
- Ne vous mettez pas dans les ennuis.
La douleur a disparu.
Ne marche pas sur l'herbe.
Mon père est absent à cause de son travail.
Mon père est absent à cause de son travail.
- Pourquoi étiez-vous absent hier ?
- Pourquoi étiez-vous absents hier ?
- Pourquoi étiez-vous absente hier ?
- Pourquoi étiez-vous absentes hier ?
- Pourquoi étais-tu absent hier ?
- Pourquoi étais-tu absente hier ?
- La moitié des étudiants furent absents.
- La moitié des étudiants ont été absents.
Le rouge n'est plus à la mode.
J'ai dit de rester en arrière.
Je suis complètement confuse.
Je serai absent de la maison l'après-midi.
Je ne reviendrai pas avant un moment.
Gardez les enfants loin de l'étang.
Quand le chat n'est pas là, les souris dansent.
Vite, l'aigle est parti !
Elle était absente à cause d'une maladie.
- J'étais absent de l'école hier.
- J'ai été absente de l'école hier.
J'étais blessé et énervé.
Pour combien de temps a-t-il été absent ?
Les hommes doivent se tenir loin de la cuisine.
J'étais absent de l'école car j'avais un rhume.
Comme souvent, il était absent de l'école aujourd'hui.
Il est souvent absent de l'école.
Elle était absente quand je l'ai appelée.
Il ne faut pas que mon ombre se reflète… à la surface de l'eau.
Mais, la première peur passée,
Le monde serait bien triste si tu n'étais pas là.
Soudain j'ai remarqué que ma montre avait disparu.
- Je n'aime pas être partie trop longtemps.
- Je n'aime pas être parti trop longtemps.
Allez, on essaie ! Vite, l'aigle est parti.
Quand le chat n'est pas là les souris dansent.
À compter de demain, cette adresse électronique ne sera plus valable.
Tom est contrarié.
- Quand le chat n'est pas là les souris dansent.
- Quand le chat n'est pas là, les souris dansent.
- Tom est perturbé.
- Tom est troublé.
Tom a été absent de l'école pendant trois jours.
Tom était contrarié.
Tom n'a jamais été absent de l'école.
Je pensais que c'était fini et qu'elle était partie.
- Garde tes distances.
- Gardez vos distances.
- Reste à distance de moi.
- Restez à distance de moi.
Mon prof de physique s'en fiche si je sèche les cours.
Tom est absent.
C'est son territoire, et grogner veut dire : "Ne t'approche pas."
Un certain M. Brown est passé vous voir en votre absence.
Tom était absent à la réunion.
Mais on a ce qu'on voulait, c'est bien. La chaleur de la journée est partie.
Un mauvais rhume m'a empêché d'étudier, cette semaine.
Un certain M. West a appelé durant votre absence.
Nos serveurs seront hors ligne le 20 octobre pour la maintenance prévue.
Nous sommes entourés d'icônes qui nous mettent en garde: de quoi rester loin, quoi ne pas faire, de quoi
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.