Examples of using "Occupation" in a sentence and their french translations:
- Quel est votre emploi ?
- Quelle est ton occupation ?
- Quel est ton métier ?
- Quelle est ta profession ?
Sa profession est d'enseigner.
Quelle est votre profession?
Après des années d'occupation soviétique,
Mon frère n'a pas de travail en ce moment.
Quel est votre emploi ?
Quelle est son occupation ?
ce qui est plus que tout autre emploi.
La Cisjordanie est occupée militairement par Israël.
Il a ensuite supervisé l'occupation française du sud de l'Espagne.
Le gouvernement israélien et son occupation militaire sont terribles.
Quel est votre emploi ?
Cependant, en septembre, les préparatifs de Sinan pour une occupation permanente ne se passe pas bien.
En 1806, Masséna supervisa l'occupation du royaume de Naples - ordonnant des
qui le choisit pour une mission importante en 1803: l'occupation de Hanovre,
de se dire chez elle, quels que soient le titre juridique de son occupation et l’affectation
Cette année-là, Israël se retire de Gaza.
Je ne trouvais aucun emploi que je me voyais faire
Mortier s'acquitta de cette mission avec tact et diplomatie, s'assurant que l'occupation était sans opposition.
Entre 1962 et 2019, il y a eu de nombreux soulèvements en Kabylie contre l'occupation algérienne.
J'aime faire de la peinture à l'huile, mais je ne veux pas en faire mon métier à vie.
certaine température dans l'océan pour se reproduire et migrer, et il semble que l'occupation des
Les forces d'occupation n'ont pas hésité à tirer dans les foules, tuant des dizaines de civils dont plusieurs femmes et enfants.
Maintenant, lorsque Pharaon vous mandera et dira : « Quelles sont vos occupations ? » vous répondrez : « Tes serviteurs se sont adonnés au bétail depuis leur jeunesse jusqu’à présent et nous et nos pères. » C’est afin que vous demeuriez dans la province de Gessen, car les Égyptiens ont en horreur tout pasteur de menu bétail.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.