Examples of using "Grace" in a sentence and their french translations:
Grace n'est pas encore venue.
Des gens comme Grace.
Grace donnait l'impression d'être en colère.
La grâce n'est pas encore venue.
Grace arborait un regard indigné.
La grâce n'est pas encore venue.
Je vous salue Marie, pleine de grâce.
Grace a décidé de quitter son village.
Grace a ensuite été enfermée dans cet appartement
Grace était piégée et réduite à l'esclavage.
Ils fermaient l'usine avec grâce.
Je voudrais vous présenter Grace.
Grace a réussi à se cacher et à échapper à l'attaque.
Grace pensait que la situation ne pouvait pas empirer :
Grace vit aujourd'hui libre au sein de la communauté.
vous m'offrez grâce et compassion.
Yoko dansait avec grâce, ce qui nous étonna.
Sais-tu si Grace est chez elle ?
Grace est arrivée en Angleterre et a été emmenée dans un appartement.
et lui a offert l'opportunité de tirer un trait sur tout ça :
Elle jouait avec une telle grâce, j'étais émerveillée.
Grace est éthiopienne. Elle est mariée et a une petite fille.
grâce de Napoléon et du sang français. C'est une ingratitude noire qui vous aveugle.
La grâce de notre Seigneur Jésus-Christ soit avec vous tous. Amen.
De la plénitude de sa grâce nous avons reçu bénédiction après bénédiction.
pour vous révéler au monde avec amour, créativité et grâce.
Père pris place au bout de la table et entama le bénédicité.
Car la loi a été donnée par Moïse, mais la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ.
Sachez que ce n'est pas son vrai nom mais son histoire est bien réelle.
" Ici nous ignorons dans quel climat nous sommes ; / ici nous ignorons et les lieux et les hommes : / des honneurs solennels vous paîront vos bienfaits. "
- Si haut qu'on puisse voler, on finit par redescendre.
- La grâce est une façon de tomber vers le haut.
La grâce du Seigneur Jésus-Christ, l'amour de Dieu et la communion du Saint-Esprit soient avec vous tous. Amen.
Tremblant, j'offre mes vœux aux nymphes des bocages, / au fier dieu des combats ; et mes pieux hommages / sollicitent des dieux un présage plus doux.
Là, pour les dieux s'élève un auguste édifice; / là, viendra l'innocence invoquer la justice ; / contre les flots grondants et les vents orageux / le commerce a ses ports ; le théâtre a ses jeux, / et déjà, de la scène ornements magnifiques, / les marbres africains sont taillés en portiques.
Elle baisse les yeux ; et, s'exprimant à peine : / " Que je te porte envie, heureuse Polyxène ! / Ton cœur ne connut pas les douceurs de l'hymen ; / mais du moins tu péris sous les remparts de Troie, / mais les arrêts du sort qui choisissait sa proie / n'ont pas nommé ton maître, et, captivant ton cœur, / mis la fille des rois aux bras de son vainqueur. "
" Que de grâces / ne vous devons-nous pas, ô vous que nos disgrâces / ont seule intéressée ! En proie à tant de maux, / triste jouet des Grecs, de la terre et des eaux, / lorsque nous n'avons plus dans notre sort horrible / qu'un souvenir affreux, qu'un avenir terrible, / c'est vous dont les bontés à vos sujets chéris / daignent associer de malheureux proscrits ! / Et comment acquitter notre reconnaissance ? / Tous en ont le désir, mais aucun la puissance. / Tous les Troyens épars dans l'univers entier / ne pourraient de vos soins dignement vous payer. "
Caché dans son nuage, il hésite, il balance, / veut savoir leur destin, veut savoir en quels lieux / les ont jetés les vents, les ont conduits les dieux, / quel sort les a sauvés, ou bien sur quel rivage / ils ont laissé la flotte échappée au naufrage, / et quels pressants besoins, quels intérêts nouveaux, / à Carthage ont conduit les chefs de ses vaisseaux.
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "