Examples of using "Держу" in a sentence and their french translations:
J'élève un chien.
Je tiens parole.
Je tiens le coup.
Je tiens toujours parole.
Je respecte toujours mes promesses.
Je tiens parole.
Je ne garde pas rancune.
Je tiens toujours parole.
J'ai treize chats.
Je le garde secret.
Je parie que ça marche.
Je garde toujours un dictionnaire à portée de main.
- Je ne vous garde pas rancune.
- Je n'ai pas de rancune contre vous.
Je n'ai pas de rancune contre toi.
- Je parie que tu parles de Tom.
- Je parie que vous êtes en train de parler de Tom.
- Je parie que vous parlez de Tom.
Je parie que tu parles de Tom.
- Je parie que tu ne savais pas ça.
- Je parie que tu ignorais ça.
- Je parie que vous ne saviez pas ça.
- Je parie que vous ignoriez ça.
Regardez voir. Je parie que si on jette ça...
Je parie que John va obtenir ce travail.
Je tiens ton destin entre mes mains.
Je parie qu'il acceptera votre suggestion.
Je parie qu'il acceptera ta proposition.
Je parie que vous feriez un bon père.
Je parie que tu ferais un bon père.
Je n'ai pas de rancune contre toi.
- Je parie que vous avez raison.
- Je parie que tu as raison.
J'ai toujours une paire de serviettes de plage dans ma voiture.
Je garde mon marteau dans la caisse à outils.
Je parie que tu ne savais pas ça.
Je te parie que si tu écrivais un article à ce sujet,
Plus je garde les gens sur mon site,
Je croise les doigts pour toi.
Je parie que tu as raison.
Elle est à terre, ne bouge pas. Il la décroche.
Je pense que vous êtes tous des familiers de cette image de l'océan,
Je ne les garde pas.
J'ai peur d'en dire trop et c'est pourquoi je tiens ma langue.
Je te parie en ce moment, à Londres, prix des maisons
Je parie que j'arrive avant vous.
Je n'ai pas de rancune contre eux.
Je n'ai pas de rancune contre vous.
Je parie que tu sais ceci.
Elle est tellement têtue. Je parie que si elle est jamais réincarnée, elle sera une bactérie capable de survivre dans le vide sidéral.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.