Examples of using "Vento" in a sentence and their french translations:
Le vent a molli.
- Prophétise au vent, au vent seulement, car seul le vent entendra.
- Prophétisez au vent, rien qu'au vent, car seul le vent entendra.
- Prophétisez au vent, au vent seulement, car seul le vent écoutera.
Quel vent !
- Le vent hurlait.
- Le vent mugissait.
Prophétisez au vent, rien qu'au vent, car seul le vent entendra.
Le vent souffle.
- Le vent hurlait.
- Le vent mugissait.
Le vent s'est calmé.
Aujourd'hui il fait du vent.
- Il y avait beaucoup de vent.
- C'était très venteux.
Il n'y a pas de vent.
La nuit le vent soufflait fort.
- Le vent s'est calmé.
- Le vent s'apaisa.
Il n'y a pas de vent, ici.
Des pétales volent dans le vent.
Le vent est resté calme.
Si le vent faiblit, nous irons.
Le vent a attisé les flammes.
- Il y avait beaucoup de vent.
- C'était très venteux.
C'est un jour venteux.
Le vent a pris mon chapeau.
- Qui sème le vent, récolte la tempête.
- Celui qui cause des problèmes aura des problèmes.
Il y aura assez de vent pour naviguer.
Le vent souffle violemment.
Le pouvoir érosif du vent est grand.
Le vent étouffe les sons.
donc le vent ne soufflait pas
Le vent a balayé tous les papiers.
Le vent emporta son chapeau.
Le vent souffle de la mer.
Ses cheveux longs volaient au vent.
Le vent a fait tomber cet arbre.
Le vent souffle du nord.
Il y a du vent aujourd'hui.
Le vent souffle très fort.
Les hautes constructions peuvent balancer par temps venteux.
Le vent souffle vers le sud.
Le vent transporte les graines sur de longues distances.
Le vent balaie toutes les feuilles mortes.
Qui va à la chasse perd sa place.
Ses longs cheveux blonds volaient au vent.
Un jour je courrai comme le vent.
Il n'y avait pas du tout de vent hier.
Je suis dans l'abri, hors de portée du vent et des intempéries,
Notre toit a été soufflé par le vent.
Un jour je courrai comme le vent.
Un voilier isolé navigue contre le vent.
Le vent fort indique qu'une tempête arrive.
Les Pays-Bas exploitent le vent comme source d'énergie.
Il dansait comme une feuille dans le vent d'automne.
Le vent a arraché le parapluie de ses mains.
Le vent a arraché le parapluie de ses mains.
Le vent a arraché le parapluie de ses mains.
Il pouvait toujours dire dans quelle direction soufflait le vent.
Maintenant qu'on est dos au vent et hors de danger,
Peu de temps, et pas un souffle de vent pour propager leurs spores.
Elle me poursuivit en courant, ses cheveux volant au vent.
Attisé par un vent fort, le feu s'est répandu en un instant.
« C'est un miracle ! Ça a bougé ! » « Je pense que c'est le vent. »
Je pense qu'il serait utile de se pencher dans quelle direction le vent souffle.
Je n'avais jamais vu de moulins à vent avant de visiter les Pays-Bas.
Qui sème le vent, récolte la tempête.
Le vent l'empêchant d'entendre, elle doit compter sur son excellente vision nocturne.
En hiver, j'aime rester à la maison, près du feu, et écouter le souffle du vent.
Dans le dernier typhon, le vent soufflé à plus de 200 kilomètres à l'heure !
Le ciel devenait de plus en plus sombre et le vent de plus en plus violent.
Le vent s'élève en poupe ; on s'élance, on arrive, / et de la Crète enfin nous atteignons la rive.
Vous connaissez la phrase, « on récolte ce que l’on sème. » Moi, j’ai semé le vent, maintenant voilà ma tempête.
Le vent du nord fait rage, fouettant vague après vague le rivage rocheux.
Les paroles s'envolent, les écrits restent.
En hiver dans l'est de la France : Le ciel est bleu, le soleil brille mais quand la bise souffle, il fait très froid.
Le doux murmure du vent dans les feuilles, le bourdonnement des abeilles, les parfums des fleurs, tout semblait une céleste harmonie.
Le poète se tenait assis, seul dans sa petite chambre, un soir de grande tempête ; le vent rugissait au dehors et la pluie tombait en torrents.
Pareil est son habit, pareil est son carquois ; / sa flèche semble attendre un habitant des bois ; / un souple brodequin compose sa chaussure ; / au-dessus du genou, les nœuds de sa ceinture / de ses légers habits serrent les plis mouvants / et ses cheveux épars flottent au gré des vents.
" Hélas ! et plût aux cieux que mon sort l'eût permis ! / Mais, ou le vent contraire, ou l'affreuse tempête, / souvent retint leur flotte à partir déjà prête. "
Tous veulent fuir ces lieux et ce bord sacrilège, / où l'hospitalité n'a plus de privilège.
Il dit : on applaudit, on dépose au rivage / tous ceux que retenait ou leur sexe ou leur âge. / Le vent gonfle la voile ; et, sur les vastes eaux, / nous cherchons des périls et des climats nouveaux.
" Aux enfers dès longtemps mon ombre dut descendre ; / depuis longtemps je meurs ; et mes jours odieux / sont à charge à la terre, et maudits par les dieux, / depuis que Jupiter, qui dut me mettre en poudre, / m'a flétri de ses feux, et frappé de sa foudre. "
" Berceau de nos aïeux, ces lieux nous redemandent : / la déesse ma mère et les dieux le commandent. "
Le héros cependant d'un roc gagne la cime, / et de la mer au loin interroge l'abîme ; / il cherche les vaisseaux, ou leurs débris épars.
Des deux côtés du port un vaste roc s'avance, / qui menace les cieux de son sommet immense ; / balancés par les vents, des bois ceignent son front ; / a ses pieds le flot dort dans un calme profond ; / et des arbres touffus l'amphithéâtre sombre / prolonge sur les flots la noirceur de son ombre.
" Déjà pour vous le ciel m'annonce un sort plus doux ; / et si, par mes parents instruite dès l'enfance, / des augures sacrés j'ai quelque connaissance, / votre flotte est sauvée, et vos amis perdus / a vos embrassements seront bientôt rendus. "
Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "
Le vent tonne en courroux sur les mers qu'il tourmente ; / le flot monte et retombe en montagne écumante ; / l'œil ne distingue plus ni le jour, ni la nuit ; / le pilote éperdu, que la frayeur conduit, / abandonne au hasard sa course vagabonde. / Sur nous le ciel mugit ; sous nos pieds la mer gronde ; / le tonnerre redouble, et de l'air ténébreux / mille horribles éclairs sont les astres affreux.
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "