Examples of using "Farto" in a sentence and their french translations:
J'en ai marre d'en avoir marre.
Je suis rassasié.
J'en ai marre de lui.
- J'en ai ras-le-bol !
- J'en ai marre !
- J'en ai marre.
- J'en ai assez !
Je me fatigue facilement.
J'en ai assez de t'attendre.
- J'en ai marre.
- J'en ai ras-le-bol.
Il en avait marre.
J'en ai marre du poisson !
- J'en ai fini avec toi.
- J'en ai fini avec vous.
- J'en ai fini de vous.
- J'en ai fini de toi.
- Moi j'en ai fini avec vous.
- Moi j'en ai fini avec toi.
- J'en ai marre de mentir.
- J'en ai vraiment marre de mentir.
- J'en ai assez de t'entendre.
- J'en ai marre de t'entendre.
J'en ai marre de manger du fromage.
J'en ai marre de manger des petits pois.
Il en avait assez de son travail.
Mon fils est fatigué des hamburgers.
- J'en ai marre qu'il me fasse tout le temps la morale.
- J'en ai assez qu'il me fasse toujours la morale.
- J'en ai ras-le-bol de le voir me faire la morale tout le temps.
J'en ai marre de ses longs discours.
J'en ai marre d'écouter ses plaintes.
Je suis fatigué de tous leurs mensonges.
J'en ai plus qu'assez de son impudence.
Je suis fatigué d'écrire.
J'en ai assez de me disputer.
- J'en ai assez de vos récriminations.
- J'en ai assez de tes récriminations.
Je suis fatigué de tes excuses!
J'en ai marre de manger du poisson.
J'en ai marre de manger des fruits de mer.
J'en ai marre de manger du fromage.
J'en ai marre de manger des petits pois.
- J'en ai assez de vos excuses.
- J'en ai marre de tes excuses.
- N'en as-tu pas assez de manger ici ?
- N'en avez-vous pas assez de manger ici ?
Mille doux souvenirs parcourent ce rivage : / de leurs murs paternels reconnaissant l'image, / les Troyens de ces lieux jouissent comme moi, / et leur concitoyen les recevait en roi. / Au milieu de sa cour, sous de vastes portiques, / un grand festin chargeait des tables magnifiques : / ils célébraient Bacchus ; et, dans des coupes d'or, / le dieu de son nectar leur versait le trésor.
Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "