Examples of using "Artista" in a sentence and their french translations:
- Je suis un artiste.
- Je suis une artiste.
Ce type est un artiste !
- Je suis un artiste.
- Je suis artiste.
Tom est-il un artiste ?
Tu es une artiste très douée.
Tu es un artiste très doué.
C'est un artiste né.
Picasso est un artiste célèbre.
Il se prend pour un artiste.
Je veux être artiste.
C'est un artiste célèbre.
Tout le monde ne peut pas être artiste.
- Elle tomba amoureuse d'un jeune artiste.
- Elle tomba amoureuse d'une jeune artiste.
- Elle est tombée amoureuse d'un jeune artiste.
- Elle est tombée amoureuse d'une jeune artiste.
Elle est devenue un peintre de renom.
Tom est aussi artiste.
L'artiste a dessiné avec de l'encre de Chine.
Vous êtes une artiste très doué.
Vous êtes un artiste très doué.
Le dessin de l'artiste a été réalisé au fusain.
Je ne suis pas un artiste. Je n'ai jamais eu l'esprit pour ça.
Le pauvre jeune homme devint finalement un grand artiste.
Je ne suis pas un artiste. Je n'ai jamais eu l'esprit pour ça.
Je ne sais pas dessiner, mais ma sœur est une grande artiste.
- J'ignore comment dessiner pas plus que je n'ai la sensibilité d'un artiste.
- J'ignore comment dessiner pas plus que je n'ai la sensibilité d'une artiste.
Il est mort l’artiste ; même s’il nous a quitté, il a laissé des traces indélébiles.
Je suis un artiste de la vie avec un million d'œuvres d'art appelées jours.
- Tout portrait qui est peint avec sentiment est un portrait de l'artiste, pas du modèle.
- Tout portrait peint avec émotion est un portrait de l'artiste et non du modèle.
Un peintre qui n’a été qu’un peintre ne sera jamais que la moitié d’un artiste.
Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.
" Mais du moment funeste / qu'Ulysse, de forfaits détestable inventeur, / que le fils de Tydée, affreux profanateur, / osèrent, à travers la garde massacrée, / enlever sur l'autel son image sacrée, / et que leur bras sanglant d'un sacrilège affront / souilla les saints bandeaux qui couronnent son front, / dès lors plus de succès, plus d'espoir ; la déesse / à son triste destin abandonna la Grèce. / Plus d'un signe effrayant signala son courroux. "