Examples of using "Molemmat" in a sentence and their french translations:
- Les deux sont vivants.
- Ils sont tous deux vivants.
- Elles sont toutes deux vivantes.
- Tous les deux étaient nus.
- Toutes les deux étaient nues.
- Tous deux rirent.
- Tous deux ont ri.
- Toutes deux rirent.
- Toutes deux ont ri.
Tous les deux ont survécu.
Ils sont morts tous les deux.
Ce sont tous les deux mes collègues.
Je connais les deux filles.
Nous sommes tous deux étudiants.
- Toutes deux se mirent à pleurer.
- Tous deux se mirent à pleurer.
- Je vous descendrai toutes les deux.
- Je vous descendrai tous les deux.
Vous avez tous deux bien fait.
- Ils sourient tous les deux.
- Elles sourient toutes les deux.
Taisez-vous, tous les deux !
Les deux frères sont morts.
- Vous avez tous deux tort.
- Vous avez toutes deux tort.
- Les deux frères sont toujours en vie.
- Les deux frères sont encore en vie.
- Les deux frères sont toujours vivants.
Ces deux options sont risquées.
Elle chasse pour eux deux.
Les deux voient bien dans la lumière artificielle.
- Nous le voulons tous les deux.
- Nous le voulons toutes les deux.
Mes deux sœurs sont mariées.
- Ils sont tous les deux beaux.
- Elles sont toutes les deux belles.
Qu'en dites-vous ? Le choix est difficile.
Elle est paralysée des deux jambes.
- Les sœurs sont toutes les deux très belles.
- Les deux sœurs sont très belles.
Mes deux parents parlent français.
Les deux savent parler français.
Les parents de Tom sont tous les deux des assassins.
- Je pense que tous deux ont raison.
- Je pense que toutes deux ont raison.
- Je pense que vous avez tous deux raison.
- Je pense que vous avez toutes deux raison.
Est-ce que vous étiez tous les deux ici hier ?
- Nous étions toutes les deux un peu saoules.
- Nous étions tous les deux un peu saouls.
Je peux placer la paume des mains sur le sol sans plier les genoux.
Nous voulons tous deux voir le film.
- Les deux parties ont des pourparlers cette semaine.
- Les deux parties ont des discussions cette semaine.
Nous avons besoin des deux.
Tom et moi parlons tous deux français.
Ma collègue et son mari, ils sont Américains tous les deux.
Les deux pays ont entamé des négociations de paix.
Mon père et mon frère travaillent tous les deux dans cette usine.
Mon père et moi sommes allés à ce musée pour la première fois.
Les deux enfants étaient du même âge.
Les deux auront un sale goût, mais un seul pourrait me rendre malade.
Les deux hommes assis sur le banc étaient américains.
Le repas copieux pris et son cartable fin prêt, Link chercha in extremis du réconfort auprès de ses amis. "Zelda, j'ai besoin de conseils." "Tu n'as quand même pas déjà peur", dit Zelda, renfrognée. "Non. Je veux juste l'avis de quelqu'un qui a déjà été au lycée et tu es la personne la plus intelligente que je connaisse !" Link sourit. Zelda laissa échapper un léger rire. "Merci. Toi alors..." "Les profs sont d'une sévérité à couper le souffle !" interrompit le roi d'un sourire malicieux. "Hein ?!" "Père !" s'exclama la princesse d'un ton réprobateur. "Désolé, poursuis." "Donc, Link-" Cette fois, un bruit de klaxon lui coupa la parole. "Ça doit être mon bus qui arrive," dit Link prestement, "Au revoir, tout le monde !" "Gare au hachis surprise !" Gwonam sembla jaillir de nulle part. "Hé, évite d'être touché !" ajouta le Roi et les deux ricanèrent. Link, pris de court, sembla brièvement vexé, mais Zelda lui témoigna son soutien : "Ne t'occupe pas d'eux, Link. Ça ira. J'en suis sûr..." "Ne t'inquiète pas, Zelda. Tout ira bien." Link redevint aussitôt radieux. "Bien. Embrasse-moi avant de partir." Mais Link fit volte-face et rétorqua sournoisement et avec une cruauté d'ado, "Dans tes rêves, princesse ! Voilà longtemps que je n'ai plus d'illusions avec toi. Mais je t'aime toujours," ajouta-t-il après coup avant de quitter le château. "Je ne vois pas ce qui la préoccupe. Tout ira bien" se dit-il en montant dans le bus, confiant.