Examples of using "Worn" in a sentence and their french translations:
- Je suis tellement claqué !
- Je suis tellement épuisé !
- Je suis tellement vanné !
Je suis épuisé.
Ce pneu est considérablement détérioré.
Tes pneus sont usés.
Tu as l'air abattu.
Je suis tellement épuisé !
J'aurais dû porter un chapeau.
J'aurai dû mettre un manteau.
Tenue correcte exigée.
Mes chaussures sont usées.
Les chaussures sont usées.
Tom était complètement épuisé.
- Son pardessus est élimé.
- Votre manteau est usé.
Il est à bout de patience.
Je n'ai jamais porté de smoking.
Ses vêtements sont usés.
J'aurai dû mettre un manteau.
Tes pneus sont fichus.
- Je suis fatigué !
- Je suis fatiguée.
- Je suis fatigué.
Mais ils ont déjà l'air très usés?
J'aurai dû mettre un manteau.
À vendre : chaussures pour bébé, jamais portées.
As-tu déjà porté des sous-vêtements longs ?
J'aurais dû porter une chemise à manches courtes.
Son petit cœur était juste épuisé.
Je suis si fatigué !
J'aurais dû porter une chemise à manches courtes.
Il était épuisé quand il est rentré chez lui.
Je l'ai trouvé usé, vieilli et fatigué.
Je savais que je n'aurais pas dû porter cette couleur.
J'en ai plus qu'assez de conduire tous les matins.
Je porte des lunettes depuis l'âge de treize ans.
- Je suis épuisé.
- Je suis crevé.
Nul doute que tu dois être exténué après avoir travaillé toute la journée.
Je préfère également les cheveux relevés.
J'ai usé deux paires de chaussures cette année.
À force d’écrire le crayon s'est usé.
La mère était épuisée.
Elle était fatiguée, et s'est appuyée sur un pommier.
Sa femme est épuisée après avoir surveillé les enfants.
Ça fait longtemps que je n'ai pas porté une cravate.
Nous sommes crevés parce que nous avons baisé toute la journée.
Je suis tellement las !
Sa veste était aussi élimée et usée que s'il l'avait portée pendant trente ans d'affilée.
"Êtes-vous une personne épuisée qui aime la zone de confort?"
Je pense que le mot «organique» est un mot tellement usé.
Nous sommes fatigués, puisque nous avons fusionné toute la journée.
On porte les jupes courtes ou longues comme on préfère cette année.
Tu étais épuisée.
Bien que je sois crevé, je n'arrive pas à m'endormir.
Les armoires de Marie sont pleines de vêtements qu'elle n'a pas porté depuis des années.
Tu continues à alimenter le pauvre moulin à eau aux engrenages éculés !
Je suis fatigué !
J'avais beaucoup travaillé pendant des années, jusqu'à l'épuisement.
Je suis tellement claqué !
Il était épuisé quand il est rentré chez lui.
- Tu es épuisée.
- Vous êtes épuisés.
- Vous êtes épuisées.
Ma patience est à bout.
- Je suis épuisée.
- Je suis épuisé.
- Je suis crevé.
- Je suis crevée.
Je suis terriblement fatigué.
- Tu étais épuisé.
- Tu étais épuisée.
Trois heures de conduite m'ont épuisé. Arrêtons-nous à la prochaine aire de repos que nous voyons.
- Trois heures de conduite m'ont épuisé. Arrêtons-nous à la prochaine aire de repos que nous voyons.
- Ces trois heures au volant m'ont éreinté. Arrêtons-nous à la première aire de repos que nous verrons.
Es-tu épuisé ?
Là, nos vaisseaux lassés trouvent un sûr asile : / nous entrons ; d'Apollon nous saluons la ville.
- Je suis épuisé.
- Je suis mort de fatigue.
- Je suis crevé.
" Berceau de nos aïeux, ces lieux nous redemandent : / la déesse ma mère et les dieux le commandent. "
" Hélas ! par cet espoir j'aimais à me venger ; / à nos malheurs passés j'opposais cette joie, / et Rome adoucissait les désastres de Troie : / chaque jour cependant reproduit nos malheurs. / Grand roi ! quand mettrez-vous un terme à nos douleurs ? "
Ma patience est à bout.
Le rivage des mers nous invite au repos. / Des travaux aux rameurs le sort fait le partage ; / et les autres, couchés sur l'aride rivage, / dorment au bruit de l'onde, et jusqu'au jour naissant / goûtent d'un doux sommeil le charme assoupissant.
Mon père ordonne alors de repasser les flots, / d'aller interroger les trépieds de Délos, / d'apprendre dans quels lieux doivent finir nos peines, / nos travaux renaissants, nos courses incertaines.
" Qu'as-tu fait de ton père appesanti par l'âge, / d'une épouse, d'un fils, entourés de carnage, / entourés d'ennemis, et qui, sans mon secours, / par la flamme ou le fer auraient fini leurs jours ? "
" O vous, l'amour, l'espoir et l'orgueil des Troyens, / Hector, quel dieu vous rend à vos concitoyens ? / Que nous avons souffert de votre longue absence ! / Que nous avons d'Hector imploré la présence ! "