Examples of using "Greedy" in a sentence and their french translations:
Tom est avare.
Tom est avare.
- L'appétit vient en mangeant.
- Insatiablement gourmand.
- Tu es avide.
- Vous êtes avide.
- Vous êtes avides.
- Je suis cupide.
- Je suis gourmand.
- Je suis gourmande.
Il est avide et impitoyable.
Elle est avide.
Nous sommes avides.
Il est avide et paresseux.
Ne sois pas si avare.
Il est avide et impitoyable.
Tom est très cupide.
Jamais Tom ne fut avide.
les banquiers avides de Wall Street,
Il est égoïste et cupide.
Cet homme riche est cupide.
- Il est avide et paresseux.
- Il est gourmand et fainéant.
Je sais que Tom est un homme avide.
Donc, cela n'avait-il rien à voir avec des banquiers avides ?
Ou peut-être le type sans cœur et avide de Wall Street, non ?
« Moi j'en ai acheté 36 », cria Enrique qui était cupide et hautain.
Ne soyez pas si gourmand ou vous finirez sans rien.
Beaucoup de choses manquent au pauvre, mais tout manque à l'avare.
Alors n'essayez pas d'être gourmand et essayer de se classer pour les meilleurs ordinateurs portables.
Un avare amasse de l'argent non pas parce qu'il est prudent mais parce qu'il est avide.
L'homme est avide, il ne consulte que ses ambitions et il prend son rêve pour la réalité.
Cette proposition pourrait faire d'une pierre deux coups, mais nous devons aussi faire attention à ne pas devenir gourmands et ainsi tout gâcher.
La société humaine est une fonction de toute l'humanité. Ceux qui en profitent le plus devraient payer le plus pour le bénéfice qu'ils en retirent. Bien sûr, étant cupides, ils en veulent simplement davantage.
" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "