Examples of using "أنتم" in a sentence and their french translations:
- Vous êtes des enseignants.
- Vous êtes des enseignantes.
Vous avez raison.
- Vous êtes des idiots.
- Vous êtes des crétins.
- Vous êtes des attardés mentaux.
Vous avez de la chance.
Êtes-vous prêts ?
Vous êtes prêts ?
Vous devez y contribuer.
qui diabolisez-vous ?
et enfin, vous êtes dehors.
Vous êtes prêts ?
Vous êtes de nouveaux étudiants.
Vous devenez fous.
- Vous êtes irresponsables.
- Vous êtes irresponsable.
avec un public incroyable, vous.
ressentez le miracle que vous êtes,
Là vous êtes en mode :
D'accord ? Êtes-vous prêts ?
Eh bien, vous voyez...
Mais voilà. Mais voilà.
C'est vous! Je suis désolé
Où êtes-vous ?
en 50 h vous êtes autonome, en 500 h vous pouvez l'enseigner,
Vous êtes excités ou pas ?
ou si vous êtes en train de créer une entreprise?
Et vous devriez en faire de même.
Alors voilà... Êtes-vous prêts ?
et vous les connaissez, car ce sont les vaccins
Vous êtes prêts ?
Vous savez ce que c'est :
Je la refais, vous êtes excités ou pas ?
Vous me regardez et je vous regarde.
Vous êtes prêts pour la première question ?
Le voulez-vous ? Une courte méditation.
vous vous souvenez à peine comment il se prononce.
Vous êtes ce à quoi le monde ressemble.
Vous savez de quels désaccords je parle.
vous n'êtes pas que des consommateurs et des acheteurs,
Elles vont même varier pour chaque individu lui-même.
Vous m'aimez comme on aime une perdrix : j'ai beau être belle, vous me mangerez.
En fait, vous ne savez pas si je médite ou non,
CP : Vous n'avez pas besoin d'écouter.
Juste au-dessus, vous pouvez voir la représentation de la rue.
Vous savez, quand ma mère me demande de ranger mon linge,
Là vous ne les voyez pas, mais elles vont être posées sur ce châssis,
L'idée n'est pas de vous inviter à pousser votre vie à l'extrême.
vous pouvez légitimement vous attendre à ce que je considère mes agresseurs
La génération Y, vous savez, où tout le monde obtient une médaille,
vous promenez votre chien en public et un étranger vient vous parler.
C'est vous, chacun de vous a le pouvoir de faire changer les choses.
- Bonne année !
- Joyeuse année !
- Tu es plus grand que moi.
- Tu es plus grande que moi.
- Vous êtes plus grand que moi.
- Vous êtes plus grande que moi.
- Vous êtes plus grands que moi.
- Vous êtes plus grandes que moi.
- Où vas-tu ?
- Où est-ce que vous allez ?
- Où allez-vous ?
- Où te diriges-tu ?
- Où vous dirigez-vous ?
- Où vous rendez-vous ?
- Où vas-tu ?
- Tu vas où ?
- Bonne année !
- Heureuse année !
- Joyeuse année !
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.